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N° PA00098726 - Château de la Bussière, actuellement musée de la Pêche

Mis à jour le 16-05-2023
Ecole
 
45230 La Bussière
Coordonnées GPS :
Fiche officielle
Source :
recensement immeubles MH
Propriétaire :
propriété d'une personne privée
Auteur :
André René-Edouard (architecte paysagiste)
Siècle :
2e moitié 16e siècle ; 1er quart 17e siècle ; 1er quart 18e siècle ; 3e quart 19e siècle
Date :
1993/11/23 : inscrit MH ; 1995/05/02 : classé MH
Contact :
mediatheque.patrimoine@culture.gouv.fr

Détails :

Intérieur du pavillon d'entrée à la cour des communs dit Pavillon de l'Horloge ; puits situé dans la cour ; plan d'eau y compris les murs de soutènement ; sol correspondant à l'emprise du parc et du jardin ainsi que leur mur de clôture et les sauts-de-loup (cad. B 1 à 36, 38 à 54) : inscription par arrêté du 23 novembre 1993. Façades et toitures du château et des communs, y compris les deux pavillons et la grille d'entrée ; grille du jardin donnant sur la route nationale 7 avec ses deux piles ornées de pots à feu, située au bout de l'allée traversant le potager cadastré B 80 ; pigeonnier ; terre-plein du château ; cour des communs ; douves des communs et leurs deux ponts (cad. B 32, 45 à 49, 51) : classement par arrêté du 2 mai 1995

Historique :

Le corps de logis, d'origine médiévale, a été reconstruit vers le milieu du 16e siècle. De cette époque ne subsiste plus que les trois premiers niveaux du châtelet d'entrée. Suite aux destructions causées par les Protestants au cours des guerres de Religion, une nouvelle campagne de travaux fut entreprise vers 1600 qui concernait à la fois l'habitation et les communs. Au début du 18e siècle, une façade du corps de logis a été transformée tandis que deux pavillons d'entrée furent bâtis de part et d'autre d'une grille permettant l'accès au jardin. Au 19e siècle, des transformations importantes touchèrent surtout le corps de logis par l'adjonction de nouvelles constructions et la modification d'éléments existants. Les douves entourant les communs furent asséchées. Intervention attestée de l'architecte paysagiste René-Edouard André.